Des chercheurs de l' Ocean Genome Legacy Center de la Northeastern University ont découvert une nouvelle espèce de ver des navires se cachant au fond d'une rivière, aux Philippines.
Leurs découvertes, publiées sur le site Web de la Royal Society B le 19 juin, indiquent que cette créature pâle a été développée pour être prise dans des roches et du sable, et qu’elle diffère des espèces de ver de navires découvertes antérieurement.
L'espèce nouvellement découverte s'appelle Lithoredo abatanica, qui vient s'ajouter à une courte liste d'animaux d'eau douce capables de modifier les couches de roche dans la nature, ce qui pourrait affecter le cours de l'écosystème fluvial.
Un certain nombre d'échantillons de dépôts calcaires ont été recueillis à une profondeur de deux mètres de plusieurs sites le long de la rivière Abtan, dans l'est de Bohol, à l'aide d'un marteau et d'un ciseau dans un réservoir de stockage.
Les scientifiques ont scanné la microscopie électronique exacte pour déterminer les caractéristiques des vannes à jauge de précision et rechercher les bactéries associées aux branchies.
Les branchies ont été brisées manuellement à l'aide d'une lame de rasoir avant la coloration afin d'étudier les modèles de coexistence bactérienne.
La tomographie sur ordinateur a également été utilisée pour étudier l’anatomie interne et le positionnement tridimensionnel des tissus mous.
Les scientifiques ont utilisé une analyse pour déterminer la composition minérale des roches ingérées et ont étudié des coupes transversales de la masse viscérale de trois échantillons de lithoridu apatanica.
Les chercheurs ont extrait l'ADN de deux échantillons de ces vers, en utilisant un rayonnement ultraviolet, et ont déterminé la pureté et le degré de concentration approximatifs dans l'ADN à stocker ultérieurement à 80 ° C et à archiver au Ocean Genome Legacy Center de la Northeastern University.
Une analyse aux rayons X effectuée sur des coupes transversales de la masse viscérale de trois échantillons montre que la composition initiale du contenu gastro-intestinal est similaire à celle des compositions de roche dans lesquelles le lithorure abatanica est foré.
Cela pose un nouveau défi: déterminer si ces vers se nourrissent de calcaire ou s'ils utilisent des roches pour concasser d'autres matériaux ingérés.
Enfin, il reste encore beaucoup d’énigmes à résoudre à propos de cette nouvelle classification appelée "Lithorido Apatanica".
Les chercheurs envisagent d’analyser plus avant le génome de ces vers, afin de mieux comprendre où se trouvent ces créatures et cherchent à savoir comment se nourrir, ainsi que le mécanisme de broyage des pierres et du sable.
Les chercheurs espèrent en outre que les bactéries présentes dans les branchies de ces vers constitueront une nouvelle source de produits pharmaceutiques et, éventuellement, de nouvelles classes complètes d'antibiotiques afin de lutter contre la menace croissante que représentent les bactéries résistantes aux médicaments conventionnels.
Leurs découvertes, publiées sur le site Web de la Royal Society B le 19 juin, indiquent que cette créature pâle a été développée pour être prise dans des roches et du sable, et qu’elle diffère des espèces de ver de navires découvertes antérieurement.
Voyage aux Philippines
Les scientifiques ont découvert au cours de leur voyage de "furets flaccides" aux Philippines un nouveau type de ver de navire qui mâche des roches et déverse des déchets sous forme de sable.L'espèce nouvellement découverte s'appelle Lithoredo abatanica, qui vient s'ajouter à une courte liste d'animaux d'eau douce capables de modifier les couches de roche dans la nature, ce qui pourrait affecter le cours de l'écosystème fluvial.
Un certain nombre d'échantillons de dépôts calcaires ont été recueillis à une profondeur de deux mètres de plusieurs sites le long de la rivière Abtan, dans l'est de Bohol, à l'aide d'un marteau et d'un ciseau dans un réservoir de stockage.
Les scientifiques ont scanné la microscopie électronique exacte pour déterminer les caractéristiques des vannes à jauge de précision et rechercher les bactéries associées aux branchies.
Les branchies ont été brisées manuellement à l'aide d'une lame de rasoir avant la coloration afin d'étudier les modèles de coexistence bactérienne.
La tomographie sur ordinateur a également été utilisée pour étudier l’anatomie interne et le positionnement tridimensionnel des tissus mous.
Les scientifiques ont utilisé une analyse pour déterminer la composition minérale des roches ingérées et ont étudié des coupes transversales de la masse viscérale de trois échantillons de lithoridu apatanica.
Les chercheurs ont extrait l'ADN de deux échantillons de ces vers, en utilisant un rayonnement ultraviolet, et ont déterminé la pureté et le degré de concentration approximatifs dans l'ADN à stocker ultérieurement à 80 ° C et à archiver au Ocean Genome Legacy Center de la Northeastern University.
Caractéristiques uniques
L'examen électronique microscopique des valves de ces vers a révélé qu'ils avaient de grandes dents larges, une tache et un sphincter, ainsi que des nodules, des branchies complètes et un intestin rectangulaire pénétrant profondément dans l'anus.Une analyse aux rayons X effectuée sur des coupes transversales de la masse viscérale de trois échantillons montre que la composition initiale du contenu gastro-intestinal est similaire à celle des compositions de roche dans lesquelles le lithorure abatanica est foré.
Cela pose un nouveau défi: déterminer si ces vers se nourrissent de calcaire ou s'ils utilisent des roches pour concasser d'autres matériaux ingérés.
Enfin, il reste encore beaucoup d’énigmes à résoudre à propos de cette nouvelle classification appelée "Lithorido Apatanica".
Les chercheurs envisagent d’analyser plus avant le génome de ces vers, afin de mieux comprendre où se trouvent ces créatures et cherchent à savoir comment se nourrir, ainsi que le mécanisme de broyage des pierres et du sable.
Les chercheurs espèrent en outre que les bactéries présentes dans les branchies de ces vers constitueront une nouvelle source de produits pharmaceutiques et, éventuellement, de nouvelles classes complètes d'antibiotiques afin de lutter contre la menace croissante que représentent les bactéries résistantes aux médicaments conventionnels.
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